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Le citoyen heureux

9 mai 2017

Edito

Edito
L'individu ne vit pas seul mais au sein d'une société. Son existence s'insère donc au milieu de cet environnement social qui est le sien. Nos goûts, la représentation que nous nous faisons de nous-mêmes et des autres, notre manière d'être dans le monde,...
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10 mai 2017

BIBLIOGRAPHIE :

Flower-wallpapers-of-lotusArt 1 : Philosophie magazine 

Art 2 : Youtube, Allo ciné

Art 3 : Livre emprunté au CDR "Le bonheur paradoxal" De Gilles Lipovetsky

Art 4 : Pierre Rabhi reflexion personnelle

Art 5 : Youtube, crtique film, blogs d'activistes "La servitude Volontaire"

 

 

10 mai 2017

COSMOPOLITISME

~ Je sais que pour l'instant je ne vous ai offert quelques articles critique de la société et qui à mon plus grand regret ne sont pas suffisamment construit j'ai profité de ce blog pour écrire un peu au fil de mes idées et me chercher dans mes raisonnements afin de me construire une opinons plus définis tout en gardant un esprit ouvert c'est ce à quoi je vous invite de nouveau. La société le conditionnement qu'elle nous inflige n’est pas en vain loin de là.

 

                                        

    Moi en tant qu'individus de la classe social moyenne vivre en société c'est aussi vivre en collaboration avec mes semblables, je partage mes joies et mes peines avec ma famille mes amis mes collègues, je suis bien quand je suis entouré j'ai besoin de me sentir accepter malgré tout comme un individu à part entière au sein de mon groupe sociale j'ai besoin de reconnaissance et de prise de décision pour me sentir acteur de ma vie et acteur de mon rôle sociale.

 

lol

***

 

Etre ensemble permet de me trouver dans mon caractère de comprendre ce que j'aime ce que je n'aime pas et pourquoi. Discuter et dialoguer avec d'autre individus favorise l'épanouissement par le dialogue on se sent proche et écouter, La société dès notre plus jeune Age par l'éducation et les loisirs qu'elle nous propose je peux être en relation avec des acteurs avec un parcours personel plus ou moins proche du miens libre à moi d'aller vers les individus qui m'inspire. La création d'internet du téléphone portable et autre gadgets qui favorise l'échange virtuelle sont là pour nous offrir la possibilité de communiquer avec des gens de l'autre bout du monde qui sont complétement différents ceci mène a une maïeutique et une confrontation d'idéologie profondes qui nous permet d'ouvrir notre esprit sur des horizons plus large. La société a ses tard mais si on a assez de recul sur notre existence nous pouvons en profiter pleinement à travers les échanges d'individus à individu il est important de se recentrer sur le contact humain plutôt que monétaire, nous faisons tous partie du même monde nous devons vivre en vue d'un cosmopolitisme plus fort afin de ne plus être le produit intérieur brut d'un pays mais un citoyen du monde.  

 

10 mai 2017

L'esclavage mordern

 ~ Pour cette article je vous réserve un point de vue antitotalitaire sur un film qui est lui-même très critique sur la société et qui aborde les grand axes de la participation du citoyen dans son monde qui aussi triste et révoltant que cela peut-être, l’être humain dans son environnement actuel n’a pas de marge de manœuvre à cette destiné.

 

Ici présent les commentaire du film sont retranscris (pour les adeptes de la lecture ils sont néanmoins synthétisés) j’y ai ajouter mes commentaires personnels, je vous offre aussi un lien qui critique ce film et qui casse complétement l’argumentation de celui-ci afin que vous ayez d’autres vision et autre point de vue qui peuvent néamoins se compléter « Gio » livre aussi quelques auteur qui ont fortement inspiré le réalisateur (Brient).

 

Avis sur le film De la servitude moderne (2009) par gio - SensCritique

Un tissu de bêtises affligeantes qui ravira les adolescents sans culture philosophique ou économique qui ont envie de se la jouer rebelle....

https://www.senscritique.com



LA SERVITUDE MODERNE 

  La servitude moderne est une servitude volontaire, consentie par la foule. Ils achètent eux-mêmes toutes les marchandises qui les lient toujours un peu plus. Ils courent eux-mêmes derrière un travail toujours plus aliénant, que l’on consent généreusement à leur donner, s’ils sont suffisamment « sages » pour tout cela il a fallu tout d’abord ôter aux membres de cette classe toute conscience de son exploitation et de son aliénation. Voilà bien l’étrange modernité de notre époque. Contrairement aux esclaves de l’Antiquité, aux serfs du Moyen-âge ou aux ouvriers des premières révolutions industrielles, nous sommes aujourd’hui devant une classe totalement asservie mais qui ne le sait pas ou plutôt qui ne veut pas le savoir. Ils acceptent sans discuter la vie que l’on a construite pour eux. Le renoncement et la résignation sont la source de leur malheur. 

    Seule la vérité (la réalité telle qu’elle est vraiment et non telle qu’elle est présentée par le pouvoir) est révolutionnaire.

 

    Chaque parcelle de ce monde est la propriété d’un État ou d’un particulier. Ce vol social qu’est l’appropriation exclusive du sol se trouve matérialisé dans l’omniprésence des murs, des barreaux, des clôtures, des barrières et des frontières… ils sont la trace visible de cette séparation qui envahit tout. Mais parallèlement, l’unification de l’espace selon les intérêts de la culture marchande est le grand objectif de notre triste époque. Le monde doit devenir une immense autoroute, pour faciliter le transport des marchandises. Tout obstacle, naturel ou humain doit être détruit.

    LA MARCHANDISE 

    La marchandise, idéologique par essence, dépossède de son travail celui qui la produit et dépossède de sa vie celui qui la consomme. Dans le système économique dominant, ce n’est plus la demande qui conditionne l’offre mais l’offre qui détermine la demande. C’est ainsi que de manière périodique, de nouveaux besoins sont créés qui sont vite considérés comme des besoins vitaux par l’immense majorité de la population : ce fut d’abord la radio, puis la voiture, la télévision, l’ordinateur et maintenant le téléphone portable.

    Toutes ces marchandises, distribuées massivement en un lapse de temps très limité, modifient en profondeur les relations humaines : elles servent d’une part à isoler les hommes un peu plus de leur semblable et d’autre part à diffuser les messages dominants du système. Les choses qu’on possède finissent par nous posséder.

 

ILLUSION  

 

 Vivre en société c’est aussi vivre dans l’ensemble des modes de vie qui la compose et par conséquente se mettre au rythme de son voisins et des entreprises. Nos journée sont régit par le travail. Le salarié disposant d’un temps toujours plus limité pour préparer la nourriture qu’il ingurgite, il en est réduit à consommer à la va-vite ce que l’industrie agro-chimique produit. Il erre dans les supermarchés à la recherche des ersatz (produit naturel remplacé par un produit manufacturé) que la société de la fausse abondance consent à lui donner. Là encore, il n’a plus que l’illusion du choix. L’abondance des produits alimentaires ne dissimule que leur dégradation et leur falsification, ces enseignes qui dispose d’un large choix présente une liberté pour le consommateur qui pense être libre de choisir mais qui en réaliter est juste manipuler par les offres toujours plus folles et extravagantes de celle-ci. Il ne s’agit bien notoirement que d’organismes génétiquement modifiés, d’un mélange de colorants et de conservateurs, de pesticides, d’hormones et autres inventions de la modernité. Le plaisir immédiat est la règle du mode d’alimentation dominant, de même qu’il est la règle de toutes les formes de consommation. Tous les produits et services tendent à faciliter la vie des consommateurs mais qui encore une fois en réaliter les rend juste un peu plus amorphes de leurs vies. La dégradation généralisée de son environnement, de l’air qu’il respire et de la nourriture qu’il consomme ainsi que le stress de ses conditions de travail augmentt des risque de cancer qui par la suite sont soigner par l’industrie pharmaceutique Monsanto (leader des produit phytosanitaires est en total collaboration avec Bayer un monstre de l’industrie de recherche dans la santé).

CRITERE ENVIRONNEMENTALE REDUIT

« C’est une triste chose de songer que la nature parle et que le genre humain ne l’écoute pas. »

Victor Hugo

 

    Le pillage des ressources de la planète, l’abondante production d’énergie ou de marchandises, les rejets et autres déchets de la consommation mettent en péril gravement les chances de survie de notre Terre et des espèces qui la peuplent. Mais pour laisser libre court au capitalisme sauvage, la croissance ne doit jamais s’arrêter. Il faut produire, produire et reproduire encore. Ceux qui régissent ce monde se gardent bien de proposer un changement radical dans le système de production. Il s’agit comme toujours de changer quelques détails pour que tout puisse rester comme avant.

 

TRAVAIL = ARGENT = POSSESION = LIBERTE 

 

 Mais pour entrer dans la ronde de la consommation frénétique, il faut de l’argent et pour avoir de l’argent, il faut travailler, c'est-à-dire se vendre. Ils s’épuisent dans le travail ils passent toute leur vie à une activité fatigante et ennuyeuse pour le profit de quelques-uns. Certains d’entre eux trouverons le bonheur au sein de leurs travail généralement guidée par la passion ou un intérêt fort mais au fur et à mesure la passion se laissent souvent dévorer par le besoin d’un salaire plus copieux qui nous offrira une plus grande chance d’atteindre l’épanouissement social, il se libérera des contraintes dans lesquels il se trouve enfermé. Comme si la possession allait de pair avec la liberté.

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    Tous les systèmes patronaux sont conçu pour augmenter la productivité de ses acteurs. L’organisation scientifique du travail constitue l’essence même de la dépossession des travailleurs, à la fois du fruit de leur travail mais aussi du temps qu’ils passent à la production automatique des marchandises ou des services. Le rôle du travailleur se confond avec celui d’une machine dans les usines, avec celui d’un ordinateur dans les bureaux. Ainsi, chaque travailleur est assigné à une tache répétitive, qu’elle soit intellectuelle ou physique. Il est spécialiste dans son domaine de production. Cette spécialisation se retrouve à l’échelle de la planète dans le cadre de la division internationale du travail et de la volonté de l’OMC (organisation mondiale du commerce) qui cherche à faciliter les échanges de marchandise, individus et d’argent.

 

 

    L’esclave moderne aurait pu se contenter de sa servitude au travail, mais à mesure que le système de production interagie en permanence avec son quotidien il décide (du moins croit choisir) de perdre son temps dans les loisirs, les divertissements et les vacances organisées, dans la quête de fuir ce même quotidien. Les entreprises tirent facilement profit de ce besoin de briser la cadence et d’essayais de s’échapper le temps d’un instant de la routine. Car osons le dire ce que nous voulons c’est aussi se divertissent, mais ce divertissement n’est là que pour faire diversion face au véritable mal qui nous accable. Nous n’arrivons même plus à nous tromper nous-mêmes, dans ce culte à l’apparence, nous ne faisons face plus a des individus mais des bien de consommation suspendu à un humain ou à contrario un humain suspendu à ses biens de consommation.

 

C’est la peur de nous retrouver à l’écart avec un bilan de vie nulle qui a fait de nous des esclaves et qui nous maintient dans cette condition ou les citoyens sont souvent réduits à des simples acteurs de la consommation.

 

    La démocratie réelle se définit d’abord et avant tout par la participation massive des citoyens à la gestion des affaires de la cité. Elle est directe et participative. Elle trouve son expression la plus authentique dans l’assemblée populaire et le dialogue permanent sur l’organisation de la vie en commun. La forme représentative et parlementaire qui usurpe le nom de démocratie limite le pouvoir des citoyens au simple droit de vote, c'est-à-dire au néant, tant il est vrai que le choix entre gris clair et gris foncé n’est pas un choix véritable. Les sièges parlementaires sont occupés dans leur immense majorité par la classe économiquement dominante, qu’elle soit de droite ou de la prétendue gauche social-démocrate.

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Le pouvoir n’est pas à conquérir, il est à détruire.

 

Mon conseil : Ceux qui attendent des solutions toutes faites n'ont rien comprit au film. Ces alternatives, c'est a nous de les créer en fonction de nos vraies aspirations et ce par le dialogue. Il s'agit de s'impliquer réellement et être acteur. Pas d'attendre un autre pouvoir hymam ou autre mentor.

 

 

9 mai 2017

Nous sommes tous responsables

   ~ Pendant des décennies nous avons crus comprendre que le bonheur se trouvait dans la possession de biens tout en se rassurant en accumulant des prestiges, le bonheur se confond souvent avec la montée social de l’individu, aujourd’hui beaucoup de personne s'offre au luxe de la simplicité en trouvant leurs bonheur dans les valeurs humaines et sociale dans la volonté de se rapprocher de la nature de renouer avec elle comme un retour vers la terre mère.

 ***

 

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L’individu au sein de la société peut-être acteur actif il peut s'épanouir à travers le bénévolat non plus dans une quête à l'argent mais plutôt dans une quête à l'interaction humaines, se rapprocher de ses confrère est aujourd'hui au cœur des préoccupations. Beaucoup sont exaspérés des comportements inconscient de la population et s'abonne a de nobles cause afin de réussir à changer la vision et les mentalités du monde et qu'on choisissent enfin d'avancer dans la même direction une paix universelle ou la création d'inégalité sociale n'est plus le résultat de l'évolution humaine mais un fléau à abattre il serait complétement utopique d'espérer à une égalité parfaite ou chacun aurait autant de chance que son voisin mais il est temps de consommer et de produire intelligemment en vue d'un capital collectif et non plus l'appropriation des richesse par les minorités. 

***

~ Nous avons placé toutes nos libertés individuelle entre les mains des institutions qui nous conditionnent mais il est fainéant de persuadé que nous nous pouvons rien y faire bien au contraire c'est avec toutes ces petites actions à notre échelles que nous pouvons réellement changer les mentalités.

 

 

 

 

Je vous invite à lire Pierre Rabhi qui est un précurseur de la permaculture qui proposent de nombreuses alternatives de vie en cohérence avec son environnement.

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8 mai 2017

Un livre qui demande qu'on s'y arrête

 

C'est dans l'ouvrage de gilles Lipovtsy Le bonheur paradoxale, que j'ai trouvé beaucoup d’argument pour soutenir mon oral.

Je replace une nouvelle fois ma problématique l’individu peut-il trouvé son bonheur au sein de la société ? 

C'est avec une puissance colossale que les industries en tout genre possède le monde moderne par le biais des subventions des campagnes électorale nous n'aurons que des gens corrompue par l'argent et désirant contrôler la masse au pouvoir. Ce que nous appelons état de nos jours : 

Société politique résultant de la fixation, sur un territoire délimité par des frontières, d'un groupe humain présentant des caractères plus ou moins marqués d'homogénéité culturelle et régi par un pouvoir institutionnalisé. (En droit constitutionnel, l'État est une personne morale territoriale de droit public personnifiant juridiquement la nation, titulaire de la souveraineté interne et internationale et du monopole de la contrainte organisée.) Def. LAROUSSE

 

    En tant qu'acteur de l'Etat je dois jouer mon rôle de citoyen en réalisant les actions qui me sont offerte pour participer aux échanges de la mondialisation, je suis un bon citoyen lorsque que j'accomplis mes droit et mes devoirs, quand j'ai été bien éduquer à avoir une vision collective sur ce qui m'entoure, nous déléguons nos liberté naturelles en échanges de libertés fictives que les institutions nous accordent nous somme depuis notre plus jeune âge contraint par l'éducation national de développer nos compétence en mathématique, informatique, français ou langues étrangères en histoire géographie en art plastique et autre matière ou nous recevons un apprentissage issue et subventionner par l'Etat il est naïf de croire que nous sommes libre de penser ce que l’on veut, il est la néanmoins pour obliger tous ses citoyens à avoir un minimum de connaissance générale pour pourvoir lui offrir un choix d'étude.

***

C’est par notre scolarité que nous apprenons à nous civiliser à l'aide de nos rapport avec nos camarades de la sont issues les premières disparités moi en tant qu'enfant je vais me rapprocher des gens qui me ressemble par exemple dans leurs façons de s'habiller, des couleurs et des marques que je porte (hello kKtty, Barbie, spider man, et même les marque plus impersonnelle tel que Nike Adidas Zadig et voltaire...) Avec le temps nous affrontons de nouvelle épreuve personnelle qui nous forge (décès d'un proche, racisme, rupture amoureuse, naissance d'un frère/ d'une sœur...) et nous sommes affecter par des épreuve impersonnelle comme le chômage, l'inflation, les show téléviser, cas de force majeur, guerre, alliance politique...)

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Toutes les institutions dont nous sommes acteur cherche à nous sectoriser (ex: code de conduite en entreprise couleur foncé...) Mais aussi dans nos consommation nous somme gavé à longueur de journée par des informations futile ou non par biais de plusieurs canaux: la télé, panneaux publicitaire, magazines... Nous nous efforçons de rentrer dans les normes afin de ne pas faire de vague dans la foule. Pour nous encadrer l'Etat est plus malin et dispose de moyens colossaux, il cherche à créer une dépendance de sorte à ce que si nous somme écarté de celui-ci nous ne sommes plus considérer comme un individu mais comme un hors la loi car je suis hors des critères. Nous voulons être accepté par-dessus tout se sentir bien au sein d'une communauté nous sommes un animal social.

 

individualisme

 

Les entreprise jouent parfaitement leurs rôles car grâce à elle je peux exprimer mon niveau de vie mes gouts mes préférence etc... Sans avoir besoin de communiquer directement avec les personnes qui m'entoure de renvoyer "une première impression" que les apparences soient suffisantes. Ce besoin de plaire de ne se faire remarquer uniquement dans le bon sens du terme est une nécessité nous n'aimons pas faire tache et être montrer du doigt par les autres. Apres cette engouffrement dans la masse nous avons besoin de sortir de se démarquer de la foule les marques nous permettent de nous identifier à un groupe social Les polo Eden Park pour les joueurs de rugby Ralph Lauren pour les joueur de polo... Les industries cosmétiques, textiles, de services, d'équipement, d'ameublement... Use de leur arme la plus fatale : la publicité qui endort les plus jeunes et berce les plus vieux la publicité est un envouteur d'esprit elle achète le temps d'attention des téléspectateurs au près des chaine de télévision qui guettent les horaires les plus fructueuses où l'attention des ménages est à son maximum. Toute ces tentations à l'achat que nous offrent les entreprises nous tentent et nous appâte à longueur de journée nous somme juste des consommateurs potentielle aux yeux de ces géant de la consommation. Nous sommes élevés dans cette bulle de folie à l'achat les entreprise joue la stratégie par les prix ou par la qualité nous somme dupé par les stratégies commerciales avec des packagings de plus en plus attrayant c’est une équipe de professionnelle du sensorielle qui travail derrière cette boite de pate ou ces produits «bio" que nous devons affronter au quotidien. L'Etat établis des services qui protègent les consommateurs (Label pour la viande, les produits bio, label de commerce équitable...) Nous sommes dans un tournent ou la tendance revient à l'artisanat, la permaculture, les circuits courts, les alternatives, des échanges plus équitable et durable pour tous.

***

La tendance est à la déflation néanmoins l'argent est devenus source de toute les possibilités dans ce monde et le green washing (l’éco blanchiment, consiste pour une entreprise à orienter ses actions marketing et sa communication vers un positionnement écologique. C’est le fait souvent, de grandes multinationales qui de par leurs activités polluantes excessives souhaite redorer leur image de marque.) Prend alors une tournure paradoxale (total qui subventionne green peace). Au milieu de tous ses contradictions l'individu veut faire sa part des choses, à son échelle dans la volonté d'un impact positif à travers sa consommation mais la courses au prix nous séduit trop souvent. L'Etat nous conditionne à désirer une famille stable équilibré tranquille = dans la norme d'être un ménage heureux et travailleurs et de suivre le schéma vulgariser "métro boulot dodo" nous somme enchainer a notre travail qui nous offre salaire et financement de nos projets de vie.

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Nous utilisons l'argent disponible du ménages pour satisfaire les envies des consommateurs, qui sont transformé en besoin par la publicité, au final après avoir été désindividualisé, nous essayons de nous démarquer de la foule par notre consommation de bien et de services.

 

Pour aller plus loin dans la réflection : http://esprit-riche.com/esprit-riche-a-lu-le-bonheur-paradoxal/

 

10 avril 2017

Un film au coeur de ma problématique

CAPTAIN FANTASTIC Bande Annonce VF (Viggo Mortensen, 2016)

"Captain Fantastic"

 Ce film réalisé par Matt Ross est sortie en fin de l'année 2016, il à été nominés de 14 fois et remporte 3 prix, sur 400 internaute 28% lui accordent 5 * et 45% 4*.

Nous rentrons dans l'intimité d'une famille vivant depuis 20 ans en pleine nature dans les forêts reculées du Nord-Ouest des Etat Unis. L'époque du film est actuelle ce qui rend l'oxymore encore plus creusé.

Les parents élèvent eux meme leurs 6 enfants tant dans l'éducation scolaire que dans l'instruction morale.

Pour replacer ce film dans ma problématique. L'individus au sein de la société peut-il être heureux ? Car la vie de cet individus (qui est qualifié d'individus des lors ou il est au sein d'une société,) ne serait-t-elle pas juste les conséquences, la suite logique qui nous a été attribué des lors de notre naissance. Ce sont nos conditions de vie et notre éducation qui sont nos premiers avantages ou désavantages pour le monde extérieure car la famille est la première société à laquelle nous appartenons.

***

    Dans la première partie du film nous entrons dans le quotidien de la famille Cash. La famille vivait dans des décors tout droit sorties de nos rêves d'évasion, le pilier de cette famille c'est le père (Ben), la mère étant bipolaire elle était source d'instabilité et, à finit par se suicider, entre autre être un passage tragique, c’est aussi l'élément déclencheur du film. La famille fait alors face à un retour à la réalité très violent, contraint de se rendre aux funérailles de leurs défunte mère dans la civilisation telle que nous la connaissons (hyperconsommation). Le père voit tout son système d'éducation remis en cause par son beau-père qui demande la garde des enfants. Ben et sa femme avait pour habitude de dire qu'il avait créé un paradis sur terre et qu'ils feraient de leurs enfants des "philosophes rois". Les enfants étaient surdoués ils savaient chasser, lire, écrire, méditer, ils connaissait tout de l'histoire de l'époque antique passant par les système politique, les grands auteur et artistes tout ce qui pouvait être issus d'un livre il le savaient.. Pour les funérailles la belle-sœur invite Ben et ses enfants (Bo, Kyelir, Vespys, Rellian, Zaja, Nai leurs prénom sont unique) à loger chez eux, sous le toit d'une famille "conventionelle" la différence se fesait réelemet ressentir. Lors du diner Zaja agée de 8 ans demande a sa tante comment avez-vous chasser la viande ? Sa tante lui répond je l'ai acheté à la boucherie il était déjà mort, un blanc s'installe autour de la table durant ce séjour nous sommes témoins de deux mode de vie (traditionnelle-autarcie) qui s'opposent et qui ont tous deux leurs failles.

***

Durant l'autre moitié du film, deux de ses enfants affrontent Ben, en premier Rillian qui l'accuse de ne pas avoir sauvé sa mère et qui choisis de rester chez son grand père. Par la suite c'est le plus grand Bo qui est en âge de rentrée à l'université reproche à son père de ne rien connaitre de la vie si ce n'est pas tiré d'un livre (auparavant il à tenter de séduire une fille cela à été pour lui une vrai expérience d'inexpérience). Au-delà de ça la famille décide (en collectif) d'aller récupérer Rillian dans la maison des grand parents, Vespyr est chargé d'escalader la façade de la maison et de passer par la fenêtre de la chambre de Rillian, malheureusement la tuile sur laquelle se trouvait son appui se casse et la chute est inévitable, Le père est encore une fois confronté à un échec de son projet de vie et remet alors tout en cause il confi alors ses enfants à leurs grand père. Il prend la route à bord du minibus familiale et décide de rentrer chez lui, ce qu'il ne savait pas c’est que la fratrie c'était cacher à l'intérieure et c’est alors, un conseil de famille qui prend place ou chacun décide de vider son sac. Le père craque et s'excuse auprès de sa famille de ne pas avoir vus que leur mère était au bord de la rupture. Après cette scène émouvante la famille décide d'opter pour un compromis il décide de se réintégrer à la société tout en adoptant un mode de vie simple et équilibré.

 ***

captain-fantastic-zaja

    Nous nous rendons compte dans ce film que la famille avec seulement 8 acteurs peut devenir une société à part entière avec des échanges des rapports de force, des concessions, des confrontations, des moments de partage et d'apprentissage, de vision collective etc... Mais peut ton réellement avoir le droit d'imposer ses propres idées aussi nobles et humaniste sont-elles à sa famille et de ce point, jusqu'à la modeler à son image sans lui offrir un minimum d'alternative quitte à l'isoler totalement du monde cela peut vous sembler cocasse que ce soit critiqué à de nombreuse reprise alors que nous sommes enfaite tous modeler à l'image de quelque chose nous cherchons à nous intégrer constamment à avoir des choses en commun des autres (lors d'une fête le père offre plusieurs cadeau à ses enfants c’était pour tous des armes couteau et tout genre, arc... le petite dernier Naï n'en a pas eu contrarié de ne pas avoir comme tout le monde, de se sentir exclu au final par lui-même et par les autres son père lui avait fait une blague et lui offre un petit couteau de poche) Nai se trouve satisfait d'être comme tous les membres de sa famille.

***

    La famille est à mon avis, un entrainement à la vie extérieure future c’est là qu'on apprend à tester les limites de l'autorité, les alliances, les valeurs fondamentale du juste et de l'injuste, les premiers coups bas, les disputes, les sentiments... Ben a toujours fait preuve de dureté avec ses enfants mais tout en usant d'une justice et d'une certaines douceur et protection envers eux. Lorsque que Rillian riposte et est en désaccord avec sa famille Ben lui explique très clairement "tu as le droit de prendre la parole et d'user d'arguments concret afin de nous convaincre nous t'écoutons Rillian" c'est dans de nombreux précepte que ben et sa femme ont élevé leurs enfants ils font tous peuvent d'une grande maturité dans les ouvrages de réflexions qui sont amener à lire ils pratiquent aussi la méditation, c’est belle et bien une famille atypique et qui a l'air d'avoir toute les compétence pour affronter le monde extérieure en réalité il n'en ai rien ! C’est faire face à des gens inconnus qui nous est difficile être sois au sein de sa famille n'a en réalité rien à voir avec être soin au milieu d'une foule d'inconnu. Ces enfants ne sont pas préparé à cela et se sente appart dans une société qui force les gens à se banaliser et se sentir rassuré d'être dans la norme de faire partie de la foule (nous retrouverons cette 

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